La Gazette

Reportage, portraits, billets d’humeur, actualités…

Frénésie conceptuelle

Frénésie conceptuelle

by

Nous avons le plaisir de vous annoncer en exclusivité l’ouverture du premier bar à tiramisù We Are Tiramisù (…) l’histoire de deux amis d’enfance qui partagent la même passion de la gastronomie, les mêmes affinités pour le sucré et qui imaginent, ensemble…

Le beau label et le truand

Le beau label et le truand

by

Depuis près d’un an, le Collège culinaire de France, coprésidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon, se disait qu’il était temps – tu m’étonnes – que les clients soient informés de ce qu’ils consomment dans les restaurants en définissant et en protégeant la dénomination du « fait maison » et en développant une appellation « Restaurant de Qualité ».

Les 5 détails qui agacent, vraiment, au restaurant

Les 5 détails qui agacent, vraiment, au restaurant

by

À l’instar des formules de politesse écrites qui évoluent au fil des années, les serveurs se sont récemment entichés d’un verbiage qui fait mal aux oreilles, le « Ça a été », pour connaître votre impression. Un « Avez-vous été satisfait ? » ou encore un « Cela vous a-t-il plu ? » serait tellement plus agréable à entendre que cette formule de mauvais français…

TRANSGÉNÈSE - L’INRA PROPOSE RUBIS, L’AGNELLE A LA MÉDUSE

L’agnelle à la méduse

by

Il semble que toutes les agnelles au nom de « Rubis » ou « Ruby » attirent les projecteurs… Il y a peu, Ruby défrayait la chronique en divertissant l’ancien président du Conseil Italien alors que notre Rubis nationale à nous, se contente que de mêler ses gènes avec ceux d’une méduse…

Zahia : destockage massif

Zahia : destockage massif

by

Dans Zahia, tout est bon : l’échine, les côtes, le filet et surtout le jarret, si moelleux et subtil. Et tout est à vendre sur l’étal… Il suffit de se pencher, le choix ne manque pas et il y en a pour toutes les bourses.

Des dangers du name-dropping

Des dangers du name-dropping

by

Le serveur de ce bistrot urbain s’avance les bras chargés d’un trésor visiblement inestimable à ses yeux et annonce fièrement : « Beurre de maître Bordier et pain de monsieur Poujauran »…